Depuis toujours, je suis un inconditionnel de la navigation « Tomtom » sur route. A l'heure actuelle, j'utilise un « Tomtom Rider 500 ». Depuis peu, j'ai mis en place une tablette Crosscall avec Osmand principalement pour la navigation hors bitume.
Pour remplacer et abandonner définitivement le Tomtom Rider 500, je dois valider, selon mes modes de fonctionnement, l'utilisation de la tablette Crosscall et valider l'application « Tomtom GO » fonctionnant sur Smartphone. Mais au final... Cette tablette Crosscall, équipée des applications idoines, peut-elle vraiment remplacer mon Tomtom Rider 500 ?
Je trouve que la navigation sur route offerte par le Tomtom 500 est parfaite. Elle répond très bien à mes besoins. L'appareil est étanche, lumineux, rapide et réactif. J'injecte des tracés construits sur la base de fichiers de type « .GPX » ou « .ITN » afin de les suivre scrupuleusement. Je l'utilise depuis deux ans maintenant (Voir cet article: GPS - Entrée dans le monde moderne).
Mon utilisation d'Osmand est, quant à elle, décrite dans ces articles, ici et là. Même si ces deux articles traitent d'Osmand iOS, mon utilisation de l'application Osmand dans ce nouveau contexte Android avec la tablette Crosscall est la même.
La navigation sur route avec Osmand iOS est bien sûr possible, mais elle a deux défauts majeurs de mon point de vue. Le premier concerne la traversée de villes de taille importante avec un réseau routier conséquent et impliquant des rocades, autoroutes et autres échangeurs. Dans ces conditions, Osmand est vite en carafe et n'est pas assez rapide dans ses recalculs d'itinéraires. Cela le rend quasiment inutilisable, sauf si un homme au bord de la crise de nerf sur le bas-côté de la route n'est pas un problème... Le deuxième défaut concerne le calcul de l'heure d'arrivée. Osmand est aussi dans les choux sur cet aspect. Sur ces deux sujets, le Tomtom Rider 500 fait bien mieux. Et, personnellement, j'ai besoin de pouvoir compter sur l'appareil dans ces situations.
Pour autant, depuis quelques semaines, j'utilise une tablette Crosscall avec Osmand en complément de mon Tomtom 500 pour la navigation hors bitume, la lecture des cartes topographiques et la visualisation de marques de visite comme dans un road-book de voyage. Voir cet article « Installer une tablette 8 pouces en guise de GPS ? » pour la description de la tablette et des applications utilisées.
Les essais d’utilisation de la tablette avec Osmand dans le contexte décrit sont concluants. Durant ces essais, j'ai également essayé l’application Tomtom Go qui, d'après les dires de Tomtom, fonctionne comme un GPS Tomtom... Est-ce vraiment le cas ? Il me reste aussi à déterminer si la luminosité de l'écran de la tablette est acceptable pour moi, dans toutes les conditions d'utilisation.
Si les réponses à toutes ces questions sont positives et favorables, je pourrai abandonner le Tomtom Rider 500. Alors ? Après plusieurs semaines d’utilisation, est-ce le cas ?
La première réponse à avoir concerne l'utilisation de l'application Tomtom Go sur la tablette.
Je commence donc par le bilan de l'utilisation de l'application Tomtom GO sur les deux semaines de voyage durant cette transpyrénéenne (voir cette série d'articles).
Le « Play Store » donne les informations suivantes sur l'application (il s'agit de la copie intégrale du texte) :
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L'application Tomtom Go se lance par l'icône entourée en rouge sur la copie écran ci-dessous.
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| Copie écran tablette |
L'écran qui arrive juste après est celui présenté, sur la copie écran, ci-dessous. L'accès au menu se fait en appuyant sur le menu « hamburger » entouré en rouge.
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| Copie écran appli Tomtom GO sur tablette |
Ainsi, j'accède au menu de configuration de l'application, visible sur les deux copies écran ci-dessous. Ce menu est quasiment le même que celui présent sur le Tomtom Rider 500. Après glissement du doigt sur l'écran, en appuyant sur le bouton « Réorganiser » entouré en rouge sur la copie écran n°2 ci-dessous, je peux changer l'ordre des boutons de menu qui apparaissent à l'écran.
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| Copies écran appli Tomtom GO sur tablette |
Cela me permet de positionner les boutons marqués 1, 2 et 3 en rouge sur la copie écran ci-dessous comme je le souhaite. A savoir , accéder facilement au menu :
- « Mes parcours » en 1,
- « Aller au domicile » en 2
- et « Paramètres » en 3
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| Copies écran appli Tomtom GO sur tablette |
En appuyant sur le bouton « Paramètres » marqué 3 sur la copie écran ci-dessus, cela me permet d'accéder au paramétrage complet de l'application. Là encore, si on est habitué au menu du Tomtom Rider 500, on retrouve ses petits.
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| Copies écran appli Tomtom GO sur tablette |
En choisissant un parcours, le calcul commence et l'affichage se fait selon la copie écran ci-dessous. Il suffit d'appuyer sur le bouton « Aller » pour lancer la navigation. Encore une fois, cela se fait de manière identique sur le Tomtom Rider 500.
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| Copie écran appli Tomtom GO sur tablette |
J'ai juste à choisir, sur le GPS, s'il doit m'emmener au « Point de départ » de l'itinéraire ou au « Point le plus proche » de là où je me trouve avec le GPS, par rapport à l'itinéraire programmé, comme cela est indiqué par la copie écran ci-dessous.
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| Copie écran appli Tomtom GO sur tablette |
La navigation commence avec, comme pour le GPS Tomtom Rider 500, l'indication du parcours suivi par la ligne bleu ciel de la copie écran ci-dessous avec, dans le coin à gauche, l'indication de la prochaine bifurcation et, sur la « barre » à droite de l'écran, la ligne du parcours suivi avec les indications d'heure d'arrivée, de kilométrage restant, et des points d'intérêt choisis et montrés tout au long du parcours planifié.
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| Copie écran appli Tomtom GO sur tablette |
Ces essais montrent que l'application Tomtom Go repose sur les mêmes choix techniques, ergonomiques et de fonctionnalités que le GPS Tomtom Rider 500. De fait, l'utilisation de l'application est identique au Tomtom Rider 500. De fait, les cartes sont identiques, puisque reposant sur les données cartographiques de Tomtom. De fait, la navigation et les recalculs sont identiques, puisque le moteur de calcul et les algorithmes sont les mêmes. De fait, la signalisation des POI et autres radars ou zones de danger sont identiques puisque les données et les logiciels sont les mêmes.
J'ai, toutefois, trouvé une chose qui diffère. Il s'agit des fichiers possibles pour les itinéraires. Les fichiers de type « .ITN » sont impossibles à faire entrer dans l'application Tomtom GO. En-tout-cas, je n'ai pas réussi à trouver comment faire. Ce qui fait que seuls les itinéraires de type « .GPX » sont possibles avec l'application Tomtom Go. L'injection des fichiers de trace se fait, à priori, uniquement via l'utilisation du site internet Tomtom My drive et le menu « Mes Parcours ».
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| Copie écran Tomtom My Drive sur navigateur ordinateur |
J'ai pour habitude d'utiliser les fichiers de type « .ITN », car cela permet d'obliger le logiciel à utiliser la route vraiment choisie pour l'itinéraire. Avec les fichiers de type « .GPX » il faut de nombreux points pour obliger le logiciel à passer, là où je veux réellement passer et ne pas laisser le logiciel calculé selon ses algorithmes. Là, avec un fichier .GPX, je n'y arrive pas. Tomtom My Drive calcule son trajet selon les points du fichier .GPX , mais s'il a une information qui lui indique que la route est interdite, il propose un autre trajet. Voir ci-dessous la copie écran MyDrive, avec le fichier E1-Transpy-Alp.
Si je compare avec le tracé que j'ai prévu, on voit clairement qu'il y a un problème avec les zones entourées en rouge (tracé avec calcul MyDrive) et en bleu (tracé avec gpxstudio) ci-dessous.
Tomtom MyDrive a une info lui disant que la route est fermée, et il m'empêche donc d'y aller. Dans les faits, le jour J, la route n'est pas du tout fermée. Osmand et le tracé montrent la route que je veux prendre en 1 sur la photo ci-dessous. Tomtom Go me dit de passer à gauche comme indiqué en 2. C'est incompréhensible...
Cela se produit plusieurs fois sur ce tracé, comme vu ci-dessous avec les copies écran.
En fait, je crois bien que c'est Tomtom My Drive et le moment où j'ai stocké le fichier .GPX qui provoque ce problème... J'ai stocké dans MyDrive les fichiers de mes parcours, pour ce voyage donné en exemple, en mars et il n'est pas invraisemblable qu'à ce moment là, les cols et les routes soient fermées. Du coup, le tracé sauvegardé dans Tomtom Go est celui du moment où j'ai demandé l'itinéraire dans Tomtom My Drive... C'est plutôt mal foutu...
Tiens, à propos, avec Osmand Android, il y a une chose vraiment mieux qu'avec la version Osmand iOS. C'est la taille des marques. Voyez ci-dessous.
Durant le voyage test, j'ai rencontré deux autres problèmes avec Tomtom GO.
Le premier concerne la mise à jour des cartes. Tomtom Go et le Tomtom Rider 500, également, ne recensent pas les chemins ruraux espagnols (en-tout-cas ceux où je suis passé), même s'ils sont bitumés. Voyez la copie écran ci-dessous.
Le deuxième problème concerne le mode de calcul de la navigation dans l'application Tomtom GO. En effet, pour certains parcours intégrant entre 20 et 30 % de chemins hors bitume, l'application Tomtom GO ne m'a donné aucun parcours. Juste le message « Pas de parcours possible ». Alors même que MyDrive donnait les parcours s'arrêtant aux portions « hors bitume » tout en prévoyant les demi-tours qui vont bien. L'utilisation de fichier .ITN dans le Tomtom Rider 500 permet aussi d'avoir les parcours, comme dans MyDrive.
En conclusion sur le point du logiciel Tomtom GO, la tablette Crosscall ne peut pas remplacer le Tomtom Rider 500 tant que les fichiers .ITN ne sont pas utilisables dans l'application. Un palliatif est d'utiliser l'application Osmand pour:
- Avoir Osmand ouvert à côté pour suivre la trace dans l'application Osmand, plutôt que la navigation Tomtom GO, lorsqu'elle est erronée par rapport à ce qu'on veut faire. Pour se faire, voir la fin de cet article et le sujet « partage de l'écran de la tablette ». Cela règle le problème de calcul du .GPX par MyDrive.
- Utiliser Osmand en mode navigation, en ayant à l'esprit qu'il n'est pas parfait sur les indications vocales, et que pour traverser des villes conséquentes, c'est galère. Cela règle le problème de l'absence de parcours par l'application Tomtom GO.
A l'occasion de ce voyage et des tests réalisés, j'ai aussi découvert que le calcul de routes par Tomtom exclue un certain nombre de routes. Est ce volontaire ? Je ne saurais le dire, mais il est clair que certaines routes, plutôt étroites, ne sont pas proposées. De mon point de vue, cet état de fait corrobore et renforce la solution Osmand, en palliatif, comme indiqué ci-dessus.
La deuxième réponse à avoir, pour savoir si la tablette et l'application TomtomGo peuvent remplacer le Tomtom Rider 500 concerne la luminosité de l'écran et sa lecture en toutes circonstances.
Le test décrit dans cet article montre que la tablette à plat sur la sacoche réservoir amène l'écran à ses limites de lisibilité en cas de forte luminosité (surtout après midi, en général). Je dois donc essayer de mettre la tablette devant mes yeux et, dans l'idéal, à la place de l'endroit, où je positionne le Tomtom Rider 500, dans le cockpit. Pour ce faire, il me faut un support adapté pour avoir la tablette en face de moi, lorsque je suis sur la moto.
Motoboxer a ce qu'il faut. Je passe commande via Ixtem Moto pour bénéficier des frais ports offert. Quelques jours plus tard, je réceptionne le colis.
Pour le mettre en place, il est nécessaire que les applications souhaitées soient en capacité de le mettre en œuvre. Si c'est le cas, il suffit de lancer les deux applications souhaitées, puis de passer par le gestionnaire de tâche pour afficher l'écran ci-dessous.
Le bilan est mitigé.
Le produit est de belle facture. C'est plus léger que ce que j'imaginais. Tant mieux!
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| Support Motoboxer - vue de face |
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| Support Motoboxer - vue arrière |
Après divers essais, je fixe une boule RAM type C à l'arrière du support. J'ai bien essayé de fixer directement le support tablette à la plaque de mon support GPS SW-Motech, mais la bulle empêche de positionner la tablette correctement. Je suis obligé d'écarter, un peu, le support tablette de la bulle au moyen d'un bras court Ram-Mount pour boule de type C.
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| Boule type C fixée à l'arrière du support tablette - vue arrière |
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| Boule type C fixée à l'arrière du support tablette - vue de côté |
Comme dit plus haut, j'installe le tout sur la moto via un bras court RAM pour boule C en lieu et place du support Tomtom. En fait, je mets le bras court avec système de verrouillage utilisé précédemment avec le Tomtom Rider 500. Je passe le X-cable magnétique dans le support tablette et le branche à la prise USB du cockpit.
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| Support tablette monté sur la moto avec le bras court boule C et le système support GPS anti vibration de SW-Motech |
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| Le X-câble magnétique est juste positionné en attente à ce stade |
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| Le support tablette monté et positionné pour une lecture optimale en étant assis sur la moto |
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| Le X-Cable attend la tablette dans le logement prévu à cet effet |
J'installe et verrouille la tablette dans le support, au moyen de la molette prévue à cet effet, sur le support Motoboxer. Le système de verrouillage est juste là pour empêcher la tablette de sortir de son emplacement, et tomber. Ce n'est pas un système de verrouillage destiné à empêcher le vol de la tablette. Avec ce support MotoBoxer, il faut enlever la tablette du support, chaque fois qu'on s'écarte du véhicule sous peine de vol possible et facile. Cette contrainte va donc dépendre des endroits où on se trouve...
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| La tablette est positionnée et alimentée dans son support |
A la mise sous contact de la moto, la tablette démarre et je peux lancer les applications que je souhaite.
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| Pour l'essai tablette et écran partagé avec à gauche l'application Tomtom GO et à droite l'application Osmand |
Utilisation de l'écran partagé
L'utilisation de l'écran partagé est possible sous Android depuis la version X. J'ai testé cette utilisation durant le voyage indiqué au début.
Cela donne cela en situation :
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| Appli Osmand pour 2/3 de l'écran à gauche et appli Tomtom GO pour 1/3 de l'écran à droite |
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| Appli Osmand pour une moitié de l'écran à gauche et appli Tomtom GO pour l'autre moitié de l'écran à droite |
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| Appli Osmand pour 1/3 de l'écran à gauche et appli Tomtom GO pour 2/3 de l'écran à droite |
L'application souhaitée à gauche est la première à choisir. Il suffit de cliquer sur l'icône de l'application, entourée en rouge, sur la copie écran ci-dessus afin d'afficher le même écran que la copie écran ci-dessous.
Sur cet écran (voir ci-dessus), il suffit de sélectionner le bouton « écran partagé » puis de passer à la tâche affichant l'écran de la deuxième application souhaitée, à droite de l'écran partagé cette fois.
Tout cela, je le rappelle, pour savoir si en termes de luminosité, c'est correct ou, pas. Le bilan est bon. Avec le support Motoboxer et la tablette en face de moi, l'écran est bien visible dans toutes les conditions de lecture. C'est juste un peu moins facile, lorsque le soleil est au Zenith, mais ce problème existe aussi avec le Tomtom Rider 500.
L'alimentation électrique de la tablette
Le bilan vis à vis de l'alimentation électrique via le X-câble est juste parfait, du moment que le câble est bien positionné. Sinon les soubresauts de la moto font qu'il y a rupture de connexion.
Le test en voyage
Le support Motoboxer, installé avec le bras court, vient toucher le guidon en butée à gauche et à droite. Voir les photos ci-dessous. C'est léger, et ce problème est absorbé par la souplesse de l'installation.
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| Blocage du guidon par le support Motoboxer en butée à gauche et à droite |
A l'utilisation sur routes ou sur chemins de terre, le support et la tablette ne vibrent absolument pas. L'association du support Motoboxer avec le suport GPS SW-Motech est juste parfaite. Même en cas de chocs forts sur des marches en tout-terrain, je n'ai rencontré aucun problème.
La conclusion
L'utilisation d'Osmand, avec l'écran face à moi, est nettement meilleure et plus agréable que la solution sur la sacoche réservoir.
L'utilisation d'Osmand pour suivre la trace, tout en ayant le guidage, par l'application Tomtom Go, grâce à la fonction écran partagé fonctionne bien et sans lenteur la plupart du temps... Oui! J'écris bien « la plupart du temps », car parfois la « crosscall » a du mal et elle sort les rames. Cela se produit lorsque je lance aussi l'application Youtube Music en plus de Tomtom Go et d'Osmand. L'application Osmand plante aussi quelques fois au démarrage. Par contre, si tout se lance bien après démarrage, je n'ai constaté aucune anomalie durant le guidage.
L'application Tomtom Go ne me permet pas de retrouver toute la souplesse et la capacité de guidage du Tomtom Rider 500 avec les fichiers .ITN.
Les défauts de chacune des applications (Osmand et Tomtom Go) peuvent être gommés par l'utilisation de l'autre, sous condition d'accepter que l'utilisation et le paramétrage d'Osmand peuvent être pénibles par moment. A ce stade, je ne suis pas encore prêt à abandonner le Tomtom Rider 500.
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