Epilogue de ce voyage dans le Pays de Caux. La route du retour passe en région parisienne pour une visite chez mes enfants avant de filer plein sud avec quelques étapes de repos.
Tout de même, je ne pouvais quitter Etretat sans une balade à moto sur la Côte d'Albâtre.
Itinéraire de retour et boucle complète :
24 août: comme indiqué plus haut, je ne pouvais quitter Etretat sans me balader, un peu, sur la côte d’Albâtre. Je fais connaissance avec l’admirable route pittoresque amenant à Vatettot-sur-Mer, puis c’est le village d’Yport. Les maisons sont caractéristiques de la région. Je trouve ce village tout simplement magnifique. Je m’y balade à pied. Flâne sur la plage et profite du point de vue sur les falaises. Je prends un café pour profiter d’un soleil qui montre le bout de son nez.
La route continue au plus près de la Manche, que ce soit sur les hauteurs ou près de l’eau. J’arrive à Fécamp. Je suis surpris par la taille importante de la ville. Sur le même principe qu’Etretat, Yport, et sans doute toutes les villes ou villages ayant une porte sur la mer, les falaises de calcaire, immenses, entourent l’ouverture sur l’eau.
Je continue la route au plus près de la côte. Cela m'amène à Veulettes-sur-Mer, terme de mon itinéraire. Il est midi trente. Si je ne veux pas galérer pour trouver où déjeuner, je dois y aller maintenant. La deuxième tentative sera la bonne. Cela doit, par contre, être forcément à l’extérieur... Dommage, il fait plutôt froid et le vent est assez fort. Je n’ai pas le choix, alors je mange mes premières moules-frites en gardant ma veste de moto.
25/8 : je fais le trajet pour rejoindre mes enfants en région parisienne. Ma fille me loge à Versailles, ce soir et le jour d’après. Une fois Fécamp derrière moi, la route est monotone et quelconque. Elle reprend de l'intérêt lorsque mon itinéraire aborde Giverny et ses jardins dont celui de Monet. En fait, je vois surtout une fréquentation très élevée et une augmentation nette du nombre de véhicules au mètre carré avant de deviner de superbes maisons et des jardins non moins magnifiques. Peu de temps après, j'entre dans le Vexin. Cela finit de me réveiller.
En fin d’après-midi, nous rejoignons, par les transports en commun, Alfortville pour dîner chez mon fils et sa compagne.
26/8 : Natacha me fait faire le tour du parc du château. Enfin, je devrais plutôt écrire: le tour de la partie du grand canal pour juste prendre l’air durant deux heures. Après déjeuner, nous partons pour Paris. Nous partons à moto, afin d’éviter de passer tout l’après-midi derrière nos masques. Nous commençons par la visite de Beaubourg. Trois étages de galeries avec de multiples salles et d’oeuvres. Morceaux choisis :
Nous continuons en rejoignant l’embarcadère des vedettes de Paris afin de profiter d’une vue différente sur la ville.
Le 27 au soir, je découvre Aubusson avec une certaine stupéfaction. La route, jusqu’à l’entrée de la vallée de la Creuse, est assez quelconque. Par la suite, c’est tout autre. Aubusson me plaît beaucoup, l’ambiance particulièrement. Je flâne un peu dans les petites rues avant de trouver un endroit où dîner.
Le 28, je démarre sous la pluie. Elle ne me quitte pas de la journée. Je reçois de véritables trombes d’eau. Quel dommage, car je profite nettement moins de la route que j’ai programmée entre Aubusson et Brousse le Château. Ce que j’en aperçois me laisse imaginer sa beauté. Je devrais refaire cette portion depuis Toulouse, un jour prochain.
Le 29, je décide de faire sècher mon équipement trempé de la veille. Au programme, repos, séchage, lecture et visite de Brousse la Château, pas forcément dans cet ordre. Ce superbe village abrite un château de l’époque carolingienne. C’est une étape idéale pour me servir de sas avant le retour à une vie «normale». La visite, à pied, du village et du château mérite bien deux bonnes heures de balades.
Le 30, demain donc, je rentre à la maison par des routes habituelles déjà décrites dans le thème des balades dans le grand sud-ouest. Ce voyage en terre normande de près de 3100 km m’aura permis de faire plus ample connaissance avec cette 1250 GS Adventure et d'apprécier nettement la modernité des aides électronique comme le frein en pente, le régulateur, les modes de conduite adaptés aux situations comme celui pour la pluie, l'ABS même en virage. Bref!! Une moto pour des gens de mon âge en somme...
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