Hier, 30 janvier, je laisse cette 1200 multistrada que j'ai depuis 3 semaines pour retrouver ma bestiole refaite... Enfin une monture à ma taille... Le temps de faire les bagages pour le weekend à venir... Une balade qui m'amène à Bordeaux, chez ma fille. Les valises pleines de ravitaillement pour la jeunesse qui m'attend ce samedi. Je vais prendre le temps de savourer mes retrouvailles, je parle aussi du Stelvio.
Itinéraire :
7h00 ce 31 janvier. la température est de 4 degrés, il pleut légèrement. L'itinéraire m'emmène d'abord à Grenade, puis les petites routes me font atteindre la cité médiévale de Lauzerte. Je poursuis vers Montaigu-de-Quercy. Arrivé à Dausse, sur la route de Villeneuve sur Lot, je fais le plein. Le temps d'une rencontre bien sympathique avec le couple gérant la station service, je repars, direction Villeneuve sur Lot. Si je veux être à Bordeaux pour le déjeuner, je dois changer de rythme... Je prends la direction de l'autoroute. La température est toujours de 4 degrés. Le trajet se fait sous des trombes d'eau. Juste à la sortie du péage la pluie s'arrête, un beau soleil apparaît.
Je profite de l'instant pour me réchauffer et sécher un peu. A 12h30, la moto est stockée dans le parking des capucins. Juste avant, j'ai transféré le chargement à ma fille et sa colocataire. Je peux les rejoindre et aller déjeuner. Jour spécial: Natacha m'invite au restaurant. Cette première fois se passe chez "Poulette" dans le marché des capucins. Assis sur des caisses on se régale de moules/frites...
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| Chez Poulette |
L'après midi se passe tranquillement. Nous partons faire une balade dans la ville afin de profiter du soleil et prendre l'air. Je suis heureux de passer du temps, seul, avec ma fille. De retour à l'appartement je recherche l'endroit de notre dîner : ce sera "Croc Loup" 35 rue du loup. Repas divin agrémenté de discussions tout azimut avec Natacha.
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| Place des Grands Hommes |
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| Grand théâtre - place de la Comédie |
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| Porte Cailhau |
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| Porte Saint Eloi |
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| Bizarre !!! |
Le lendemain, nous faisons le marché afin de préparer un brunch. Me voilà entouré de trois belles jeunes filles pleines de fraîcheurs, qui semblent épanouie et pleines de projets. Ça rigole, ça papote, ça chambre... J'irais même jusqu'à dire que ça piaille un poil... Bref, c'est plein de vie... Mon sourire intérieur est bien installé. Il est bientôt midi, temps pour moi de quitter Natacha, Léa et Juliette, et repartir vers Toulouse.
La moto récupérée, je charge et prends la direction de Saint-Symphorien. Le ciel est lumineux, le soleil est là, mais il fait frais. Je traverse la forêt des landes. L'ambiance est étrange : ces petits villages passés sans voir personne... Je croise peu de véhicules... Cette forêt omniprésente... Il y a quelque chose de feutré dans tout cela... L'humidité omniprésente se sent et se voit... Comme une impression d'être observé par tous ces grands pins qui m'entourent... Je profite...
Je passe Roquefort (pas celui du fromage mais celui qui marque l'entrée dans les coteaux de l'Armagnac). Le Gers n'est plus très loin. Je ne pensais par que l'Armagnac était fait jusque dans les landes. A ce propos, si je n'étais pas en train de conduire, je m’arrêterais bien en prendre une lampée pour me réchauffer. Le thermomètre affiche trois degrés. Le soleil disparaît à Auch. La pluie commence... Je crains que cela ne se transforme en neige vu la température... Ce ne sera pas le cas. La route est pourtant, de plus en plus, glissante. La pluie me quitte à l'Isle-Jourdain. Un beau soleil revient. Le froid est, par contre, de plus en plus piquant... Mes vêtements, trempés en surface, se raidissent de plus en plus et le froid m'enveloppe. Cette expérience est une "drôle" de sensations par forcément très agréable... Heureusement je suis bientôt arrivé.
La moto récupérée, je charge et prends la direction de Saint-Symphorien. Le ciel est lumineux, le soleil est là, mais il fait frais. Je traverse la forêt des landes. L'ambiance est étrange : ces petits villages passés sans voir personne... Je croise peu de véhicules... Cette forêt omniprésente... Il y a quelque chose de feutré dans tout cela... L'humidité omniprésente se sent et se voit... Comme une impression d'être observé par tous ces grands pins qui m'entourent... Je profite...
Je passe Roquefort (pas celui du fromage mais celui qui marque l'entrée dans les coteaux de l'Armagnac). Le Gers n'est plus très loin. Je ne pensais par que l'Armagnac était fait jusque dans les landes. A ce propos, si je n'étais pas en train de conduire, je m’arrêterais bien en prendre une lampée pour me réchauffer. Le thermomètre affiche trois degrés. Le soleil disparaît à Auch. La pluie commence... Je crains que cela ne se transforme en neige vu la température... Ce ne sera pas le cas. La route est pourtant, de plus en plus, glissante. La pluie me quitte à l'Isle-Jourdain. Un beau soleil revient. Le froid est, par contre, de plus en plus piquant... Mes vêtements, trempés en surface, se raidissent de plus en plus et le froid m'enveloppe. Cette expérience est une "drôle" de sensations par forcément très agréable... Heureusement je suis bientôt arrivé.
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